Lecture Jack London, partie 4/5 |
Encore un Jack London, je n'ai pas résisté. Cet auteur est si puissant ...
Et encore, ce n'est rien, j'ai acheté dernièrement quatre livres de lui et j'en ai vu au moins cinq à acheter et lire encore. Le reste sera pour un petit peu plus tard. Et puis quel plaisir en cette saison bien froide de pouvoir lire tranquillement au chaud des nouvelles sur une température encore bien pire !
Résumé en trois mots : Le nord, sauvage et la harge
J'avoue que pour le dernier mot j'aurais presque mit le titre, tant c'est ce qu'on trouve dans l'ensemble des nouvelles. L'amour de la vie, tout simplement. Et c'est beau, mais beau ... Encore une fois, j'aurais du mal à lister tout ce que j'aime chez Jack London. Le style, vivant et brut de décoffrage, les personnages qui semblent taillés dans le bois des arbres qui les environnent, les situations qui sont toujours horribles, les façons de faire passer son message, la rage de vivre et l'amour de la vie qui transparait dans toutes les nouvelles. Jack London raconte le nord, le froid et la faim, la dureté de la vie et sa beauté, son état brut, primitif, débarrassé de tout ce qui encombre. C'est puissant et prenant.
Dans toutes les nouvelles, on suit ce nord, même sans y être, cette communication entre les êtres, blancs, indiens, animaux, et tout ce qui tourne autour de l'or, de ce sang jaune de la terre qu'ils sont venus arracher par milliers au sol gelé d'une terre dure. Et qui le rend plus dur encore. Ce sont des hommes qui réapprennent à être sauvage, qui se soumettent au condition les plus rudes mais subissent bien pire intérieurement. C'est sauvage et dur.
Je ne peux que vous recommander de le lire. C'est moins simpliste que dans le recueil Le fils du loup, mais c'est tout aussi froid, dur et sauvage. C'est la terre du nord, les hommes du nord et la vie du nord, dans l'environnement du nord. Par dessus, c'est London, sa puissance et sa force, son élégance et son style. Le recueil est à la hauteur de Construire un feu, c'est d'une beauté éblouissante. Je ne peux qu'admirer cet auteur. Il est pour moi l'un des meilleurs que je connaisse.
(Chronique n°110)
J'avoue que pour le dernier mot j'aurais presque mit le titre, tant c'est ce qu'on trouve dans l'ensemble des nouvelles. L'amour de la vie, tout simplement. Et c'est beau, mais beau ... Encore une fois, j'aurais du mal à lister tout ce que j'aime chez Jack London. Le style, vivant et brut de décoffrage, les personnages qui semblent taillés dans le bois des arbres qui les environnent, les situations qui sont toujours horribles, les façons de faire passer son message, la rage de vivre et l'amour de la vie qui transparait dans toutes les nouvelles. Jack London raconte le nord, le froid et la faim, la dureté de la vie et sa beauté, son état brut, primitif, débarrassé de tout ce qui encombre. C'est puissant et prenant.
Dans toutes les nouvelles, on suit ce nord, même sans y être, cette communication entre les êtres, blancs, indiens, animaux, et tout ce qui tourne autour de l'or, de ce sang jaune de la terre qu'ils sont venus arracher par milliers au sol gelé d'une terre dure. Et qui le rend plus dur encore. Ce sont des hommes qui réapprennent à être sauvage, qui se soumettent au condition les plus rudes mais subissent bien pire intérieurement. C'est sauvage et dur.
Je ne peux que vous recommander de le lire. C'est moins simpliste que dans le recueil Le fils du loup, mais c'est tout aussi froid, dur et sauvage. C'est la terre du nord, les hommes du nord et la vie du nord, dans l'environnement du nord. Par dessus, c'est London, sa puissance et sa force, son élégance et son style. Le recueil est à la hauteur de Construire un feu, c'est d'une beauté éblouissante. Je ne peux qu'admirer cet auteur. Il est pour moi l'un des meilleurs que je connaisse.
(Chronique n°110)
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