J'avoue déroger un poil à ma règle en postant cet article, puisqu'il s'agit du premier volume d'une série et que je n'ai pas tout lu pour pouvoir vous en faire le commentaire complet. Enfin, je n'ai pas tout relu, puisque j'ai déjà lu l'ensemble de la saga il y a plusieurs années de cela. La raison de cette chronique, c'est à la fois de vous parler de ce livre, mais aussi de vous introduire à cet univers et vous donner envie de lire la saga, que je m'achèterai quand j'aurais gagné au loto ! (je ne vois plus que ça pour espérer compléter ma bibliothèque). Bref, voici mes impressions sur Le pistolero, quelques années après une première lecture de ce volume initiateur d'une des sagas les plus mémorables de l'auteur américain tellement connu (et que j'aime vraiment beaucoup).
Résumé en trois mots : Western, Cow-boy et Quête
Là, vous avez l'ambiance, le personnage et l'histoire (wouh, ça c'est du résumé !). En effet, ce premier livre est assez court, et se résume facilement, bien qu'il contienne en germe, sans qu'on puisse le deviner, une bonne partie de la suite du cycle de La tour sombre. C'est en effet une introduction à tout le récit, celle où se met en place une bonne partie de ce qui sera plus tard le développement, aussi bien niveau personnages que intrigue et complexité du monde.
L'histoire commence, en somme, celle de Roland et de l'homme en noir, le premier traquant le second, ou le second se laissant poursuivre par le premier. Et ensemble, ils traversent un monde désolé, en perdition, qui s'étiole et se déforme dans tout les sens, et le pistolero reste l'unique centre serein. Même s'il tire vite et bien.
Ce qui est passionnant dans ce livre, c'est l'envoutement progressif qui nait, entre le héros charismatique et un peu sombre (un vrai Clint Eastwood), l'intrigue qui se dessine petit à petit, les relations entre personnages, le passé du héros qui s'esquisse brièvement et qui recèle en lui beaucoup de choses. Bref, tout est déjà installé pour une saga époustouflante (qui l'est, d'ailleurs). Ce premier livre se dévore et nous installe tout pour qu'on ne puisse plus lâcher. Encore une fois Stephen King démontre de son talent à happer le lecteur.
Ce tome, introductif à l'univers de La tour sombre, qui installe toute les pièces qui seront ensuite développés, est un must en la matière d'ouverture. Prenant, intéressant, attisant la curiosité, il nous plonge dans l'entre-deux monde, dans cet espace déformé qui n'est ni de la fantasy, ni du fantastique, ni de la SF. Un univers unique pour l'installation d'une histoire tout aussi unique, qui installe son ambiance et son style. Un premier tome qui donne envie de se ruer sur les suivants, alors profitez-en, vous qui pouvez lire la suite tout de suite.
(Chronique n°175)
L'histoire commence, en somme, celle de Roland et de l'homme en noir, le premier traquant le second, ou le second se laissant poursuivre par le premier. Et ensemble, ils traversent un monde désolé, en perdition, qui s'étiole et se déforme dans tout les sens, et le pistolero reste l'unique centre serein. Même s'il tire vite et bien.
Ce qui est passionnant dans ce livre, c'est l'envoutement progressif qui nait, entre le héros charismatique et un peu sombre (un vrai Clint Eastwood), l'intrigue qui se dessine petit à petit, les relations entre personnages, le passé du héros qui s'esquisse brièvement et qui recèle en lui beaucoup de choses. Bref, tout est déjà installé pour une saga époustouflante (qui l'est, d'ailleurs). Ce premier livre se dévore et nous installe tout pour qu'on ne puisse plus lâcher. Encore une fois Stephen King démontre de son talent à happer le lecteur.
Ce tome, introductif à l'univers de La tour sombre, qui installe toute les pièces qui seront ensuite développés, est un must en la matière d'ouverture. Prenant, intéressant, attisant la curiosité, il nous plonge dans l'entre-deux monde, dans cet espace déformé qui n'est ni de la fantasy, ni du fantastique, ni de la SF. Un univers unique pour l'installation d'une histoire tout aussi unique, qui installe son ambiance et son style. Un premier tome qui donne envie de se ruer sur les suivants, alors profitez-en, vous qui pouvez lire la suite tout de suite.
(Chronique n°175)
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