Enfin, enfin, enfin je lis ce livre ! Depuis des années je me disais qu'il fallait que je découvre un immanquable comme lui, et je me suis enfin lancé dans sa lecture, attendu et désirée. C'est un choix que je ne regrette vraiment pas. Ce livre n'est pas cité en tout sens pour rien. Il contient quelque chose en lui de vraiment spécial qui le fait traverser le temps, et je pense qu'il continuera encore longtemps.
Résumé en trois mots : Enfants, Jeux et Violence
Pour faire un résumé simple, c'est simplement l'histoire d'un groupe d'enfants rescapés d'un crash d'avions et qui survivent sur une île, en s'organisant à leur manière. Bien évidemment, tout ne s'arrange pas de la meilleure façon qu'il soit. Et les ennuis que peuvent provoquer les enfants vont très loin, bien plus loin qu'on ne pourrait le penser.
Je n'ai pas lu d'analyse de ce livre, qui le mérite bien pourtant, mais je pense qu'on y trouve une bonne vision de l'homme sauvage, ou au moins de la nature sauvage de l'homme. Car ces enfants sont les hommes affranchis de toutes contraintes sociales, et toute contrainte mentale. Ils font comme bon leurs semble dans la vie de tout les jours. Et les jeux deviennent de plus en plus violent. Le pouvoir est discuté, des problématiques importantes surgissent : prévenir les adultes, sauvegarder l'espace de vie, manger. Et la superstition apparait ...
Ce qui est particulièrement intéressant dans ce livre, c'est que rien ne sera épargné à ce groupe sous prétextes qu'ils sont des enfants. Au contraire, la cruauté se rajoute encore par-dessus. Rien ne leur est épargné, et à travers eux, c'est l'humanité qui est visée, l'humanité qui peut se conduire comme des enfants et jouer à des jeux de plus en plus violents. C'est la façon d'être la plus sauvage, mais la plus naturelle pour l'homme. C'est jusque dans le comportement du personnage principal, qui est au début un gamin comme tout les autres et fait également preuve de cruauté, tout comme les autres.
En fait c'est assez dur de décrire ce livre ou de donner une impression claire sans trop en dire, mais j'ai vraiment beaucoup aimé et je ne peux que vous conseiller sa lecture. L'image de l'homme y est dépeinte sans scrupule et sans pincettes. C'est un grand classique, mais qui est plaisant à lire et qui n'a rien perdu de son éclat.
(Chronique n°229)
Résumé en trois mots : Enfants, Jeux et Violence
Pour faire un résumé simple, c'est simplement l'histoire d'un groupe d'enfants rescapés d'un crash d'avions et qui survivent sur une île, en s'organisant à leur manière. Bien évidemment, tout ne s'arrange pas de la meilleure façon qu'il soit. Et les ennuis que peuvent provoquer les enfants vont très loin, bien plus loin qu'on ne pourrait le penser.
Je n'ai pas lu d'analyse de ce livre, qui le mérite bien pourtant, mais je pense qu'on y trouve une bonne vision de l'homme sauvage, ou au moins de la nature sauvage de l'homme. Car ces enfants sont les hommes affranchis de toutes contraintes sociales, et toute contrainte mentale. Ils font comme bon leurs semble dans la vie de tout les jours. Et les jeux deviennent de plus en plus violent. Le pouvoir est discuté, des problématiques importantes surgissent : prévenir les adultes, sauvegarder l'espace de vie, manger. Et la superstition apparait ...
Ce qui est particulièrement intéressant dans ce livre, c'est que rien ne sera épargné à ce groupe sous prétextes qu'ils sont des enfants. Au contraire, la cruauté se rajoute encore par-dessus. Rien ne leur est épargné, et à travers eux, c'est l'humanité qui est visée, l'humanité qui peut se conduire comme des enfants et jouer à des jeux de plus en plus violents. C'est la façon d'être la plus sauvage, mais la plus naturelle pour l'homme. C'est jusque dans le comportement du personnage principal, qui est au début un gamin comme tout les autres et fait également preuve de cruauté, tout comme les autres.
En fait c'est assez dur de décrire ce livre ou de donner une impression claire sans trop en dire, mais j'ai vraiment beaucoup aimé et je ne peux que vous conseiller sa lecture. L'image de l'homme y est dépeinte sans scrupule et sans pincettes. C'est un grand classique, mais qui est plaisant à lire et qui n'a rien perdu de son éclat.
(Chronique n°229)
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