Fin de la route, 3/3 |
Depuis le temps que je chronique sur ce blog, je crois bien que c'est la première fois que j'ai eu autant de mal à finir un livre. Plus de deux semaines en étalant la lecture, c'est un gros point noir avant même de commencer à critiquer l'intérieur. Mais je tenais absolument à le lire, pour cet ensemble d'avis et surtout parce qu'il s'agit tout de même d'un immanquable, que je voulais lire pour savoir de quoi il en retourne exactement. Et bien, il y en aurait à dire.
Résumé en trois mots : Voiture, Voyages et USA
En fait, je crois bien que le principal problème que j'ai trouvé dans ce livre réside dans son scénario. Je dirais presque : son absence. En gros, nous suivons les pérégrinations de deux personnages, le narrateur, appelé Sal, et son acolyte, Dean, personnage qui aurait, dit sympathiquement, "pété un boulon". Un gars dingue, simplement, dynamique et vivant. Et les deux vont sillonner les États-Unis dans un peu tout les sens, avec un peu tout mais surtout des voitures. Et ... Ah oui, il y a aussi les filles de Dean. Et je crois que nous avons fait le tour.
En fait le roman m'a semblé incroyablement long, sans grand intérêt et je l'ai fini en me demandant : Ok, a part présenter un personnage curieux (Dean), quel intérêt ? Pour moi, la réponse serait : aucun. Je n'en ai franchement rien retiré. Je n'ai pas eu l'impression de comprendre la beat generation, je n'ai pas eu de sympathie pour les personnages, je me perdais dans les états et en fin de compte je me sentais un peu perdu dans cette histoire. La plupart des choses ne m'intéressaient pas le moins du monde, tout simplement. Et ce fut assez pénible de poursuivre la route sur autant de pages. Je me demande encore ce que tant de gens y trouvent.
Le résumé est assez simple : déception. La lecture ne m'a pas du tout intéressé, et jusqu'au bout je me suis demandé ce qu'il y avait à comprendre. Je crois que le gros problème, c'est qu'il n'y a rien, vraiment, à comprendre. L'ensemble est creux, c'est peut-être une vie réelle, mais je ne suis pas du tout intéressé. En fait, en terme d'immanquable, de roman culte, je suis complètement sur ma faim. Je ne me rappelle pas d'avoir autant trainé sur une lecture depuis un moment.
De l'ensemble des récits sur la route, c'est le moins bon. Les lectures sont allées en chute d'intérêt, et c'est pour cela que l'ensemble arrive si tard. Je ne vous le conseille pas, même si c'est un livre tellement réputé. La route vaut largement plus le détour. Passez votre chemin à pied par les sentiers plutôt que de vous engager Sur la route.
(Chronique n°171)
En fait le roman m'a semblé incroyablement long, sans grand intérêt et je l'ai fini en me demandant : Ok, a part présenter un personnage curieux (Dean), quel intérêt ? Pour moi, la réponse serait : aucun. Je n'en ai franchement rien retiré. Je n'ai pas eu l'impression de comprendre la beat generation, je n'ai pas eu de sympathie pour les personnages, je me perdais dans les états et en fin de compte je me sentais un peu perdu dans cette histoire. La plupart des choses ne m'intéressaient pas le moins du monde, tout simplement. Et ce fut assez pénible de poursuivre la route sur autant de pages. Je me demande encore ce que tant de gens y trouvent.
Le résumé est assez simple : déception. La lecture ne m'a pas du tout intéressé, et jusqu'au bout je me suis demandé ce qu'il y avait à comprendre. Je crois que le gros problème, c'est qu'il n'y a rien, vraiment, à comprendre. L'ensemble est creux, c'est peut-être une vie réelle, mais je ne suis pas du tout intéressé. En fait, en terme d'immanquable, de roman culte, je suis complètement sur ma faim. Je ne me rappelle pas d'avoir autant trainé sur une lecture depuis un moment.
De l'ensemble des récits sur la route, c'est le moins bon. Les lectures sont allées en chute d'intérêt, et c'est pour cela que l'ensemble arrive si tard. Je ne vous le conseille pas, même si c'est un livre tellement réputé. La route vaut largement plus le détour. Passez votre chemin à pied par les sentiers plutôt que de vous engager Sur la route.
(Chronique n°171)
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