Deuxième livre de cet auteur, il va falloir que je m'accroche sérieusement pour pouvoir continuer à le lire, celui-là. Les raisons sont multiples, et je dirais même qu'il s'agit d'un des auteurs pour lequel je m'accroche le plus. Je tente encore le célèbre American Psycho, mais je pense que je vais bientôt arrêter les efforts entrepris envers cet auteur. Un génie selon une bonne partie des critiques (et même selon Frederic Beigbeder), mais que j'ai du mal à apprécier à sa juste valeur. Ou alors ne suis-je pas du tout le bon public de ce genre de littérature.
Résumé en trois mots : Los Angeles, Jeunesse et Ennui
Ennui serait le terme qui définirait le mieux le livre et mon ressenti par rapport au livre. Et en même temps, je comprends que c'est exactement le but du livre. D'où un problème, qui est pour moi un peu dur à bien décomposer.
Le principal problème de ce livre, c'est qu'il ne s'y passe rien. Mais vraiment rien du tout, c'est l'ennui total, le vide absolu. Les personnages s'emmerdent et se font chier entre deux moments où rien ne se passe. Et le lecteur s'emmerde avec. Alors certes, je vois parfaitement derrière tout ça la critique de cette jeunesse dorée et riche qui ne sait plus quoi faire de sa vie, je comprends parfaitement le principe qui est développé, du stade de rien à celui de néant, et j'ai aussi noté l'escalade progressive du roman jusqu'au pétard mouillé final. Et oui, c'est bien fait, on ressent vraiment ce qu'ils doivent vivre.
Mais voila, quand je lis un livre, même si c'est une critique d'une frange de la population d'une ville des Etats-Unis, je m'attends à lire quelque chose vraiment. Et quand je m'ennuie fermement, là ça me pose problème. Et si c'est le propos du livre, je suis face à un problème : pourquoi lire un livre que je sais ennuyeux juste pour bien me rendre compte de cette sensation de vide et d'ennui ? A mes yeux, ça ne justifie pas de passer du temps dessus.
Un livre qui ne m'a pas plu, parce que si j'ai bien compris (il me semble) ce que veut l'auteur, je dois le dire tout net : je me suis fait chier. Oui, c'est bien le propos du livre, de vous montrer ce que c'est que de s'ennuyer, et en un sens j'ai été sensible à ce propos, mais ce n'est pas ce que je recherche lorsque je lis un livre, et ce sera donc pour moi une lecture qui me laisse une mauvaise impression. L'auteur n'a pas réussi à m'accrocher en deux livres, je sens que le troisième sera celui qui me fera basculer entre un oui timide ou un non définitif.
(Chronique n°225)
Le principal problème de ce livre, c'est qu'il ne s'y passe rien. Mais vraiment rien du tout, c'est l'ennui total, le vide absolu. Les personnages s'emmerdent et se font chier entre deux moments où rien ne se passe. Et le lecteur s'emmerde avec. Alors certes, je vois parfaitement derrière tout ça la critique de cette jeunesse dorée et riche qui ne sait plus quoi faire de sa vie, je comprends parfaitement le principe qui est développé, du stade de rien à celui de néant, et j'ai aussi noté l'escalade progressive du roman jusqu'au pétard mouillé final. Et oui, c'est bien fait, on ressent vraiment ce qu'ils doivent vivre.
Mais voila, quand je lis un livre, même si c'est une critique d'une frange de la population d'une ville des Etats-Unis, je m'attends à lire quelque chose vraiment. Et quand je m'ennuie fermement, là ça me pose problème. Et si c'est le propos du livre, je suis face à un problème : pourquoi lire un livre que je sais ennuyeux juste pour bien me rendre compte de cette sensation de vide et d'ennui ? A mes yeux, ça ne justifie pas de passer du temps dessus.
Un livre qui ne m'a pas plu, parce que si j'ai bien compris (il me semble) ce que veut l'auteur, je dois le dire tout net : je me suis fait chier. Oui, c'est bien le propos du livre, de vous montrer ce que c'est que de s'ennuyer, et en un sens j'ai été sensible à ce propos, mais ce n'est pas ce que je recherche lorsque je lis un livre, et ce sera donc pour moi une lecture qui me laisse une mauvaise impression. L'auteur n'a pas réussi à m'accrocher en deux livres, je sens que le troisième sera celui qui me fera basculer entre un oui timide ou un non définitif.
(Chronique n°225)
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